Jacky Ickx a accueilli Valentino Rossi à Francorchamps
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Jacky Ickx a accueilli Valentino Rossi à Francorchamps
Le journal "Le Soir" de ce 22.06.22.
Jacky Ickx a accueilli Valentino Rossi à Francorchamps pour le guider sur le tracé mythique en vue des 24 H de Spa (fin juillet). Nous avons pris leur sillage...
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Un moment suspendu dans le temps. Une rencontre improbable entre deux monstres sacrés du bitume : un enragé de la poignée de gaz d’un côté, un virtuose de l’accélérateur de l’autre. Lundi en fin d’après-midi, Jacky Ickx et Valentino Rossi se sont retrouvés en toute discrétion à Francorchamps. Pour le nonuple champion du monde de moto, il s’agissait d’une découverte : « Je connais le circuit sur simulateur et sur les consoles de jeux, mais j’ai hâte de le découvrir en vrai ! », répétait « Vale », arrivé dans un combi noir aux vitres teintées, en compagnie de son attachée de presse Camilla et de son manager et ami Alberto (Albi pour les intimes).
« Enzo Ferrari avait pour habitude de dire Che gente, questi piloti (Quels personnages, ces pilotes) et Valentino Rossi en est un, il est de ces seigneurs qui ont marqué à jamais leur sport et leur époque », philosophait Jacky Ickx en l’attendant dans le paddock. « J’ai eu plaisir à le côtoyer quelques fois ces dernières années. En allant notamment le voir rouler à Valence (NDLR : lors de la fameuse finale de 2015) ou encore à Assen. Nous ne nous connaissons pas intimement, mais nous nous apprécions, et je suis maintenant heureux de lui montrer notre circuit… »
Vincent Vosse vit l’instant avec émotion… « Réunir ces deux monstres sacrés dont le caractère et le charisme font leur légende en plus de faire celle de leur sport est bien sûr un moment très intense pour moi », nous glisse le patron du team WRT qui engage l’Audi du motard italien, secondé par le Courtraisien Fred Vervisch et le Suisse Nico Muller.
Pas le temps de s’appesantir : les caméras tournent ! La rencontre a été organisée dans le cadre de la réalisation d’un film sur le Centenaire du circuit que la RTBF diffusera dans la foulée du prochain Grand Prix de Belgique (à une date qui reste à déterminer). « Il ne faudra pas se louper, car il n’y aura pas vingt prises », nous glisse le réalisateur Christophe Hanquet dont le vœu sera exaucé : ses deux acteurs principaux manifestent une telle joie réciproque de « jouer ensemble » que le sujet se construit de manière fluide.
Valentino Rossi : « Jacky m’a donné quelques secrets »
Jacky Ickx fera d’abord trois tours de piste au volant d’une Porsche 911 de la série limitée créée en son honneur (il n’en existe que 75 exemplaires), puis Valentino Rossi en prendra le volant pour partir à la découverte du toboggan ardennais. « Laisse-la bien en mode sport c’est mieux ! », lui glisse l’ancien vice-champion du monde de F1 au moment d’échanger les places. « Sois bien prudent, Vale ! J’ai besoin de Jacky : nous fêtons les 20 ans de notre rencontre la semaine prochaine… », s’exclame dans un éclat de rire Khadja Nin, venue assister au tournage. Moins de dix minutes plus tard, l’improbable duo est de retour au stand. Rossi a la banane : « Ce circuit est magnifique ! », s’exclame-t-il. « C’est très rythmé et très fluide à la fois. Et maintenant que Jacky m’a donné quelques secrets, j’ai vraiment hâte d’y rouler avec ma voiture de course… »
Une découverte concrétisée mardi, et ce mercredi encore, à l’occasion des deux journées de tests programmées en vue des 24 Heures de Spa qui se dérouleront le dernier week-end de juillet (30-31). Et qui promettent un spectacle grandiose, avec pas moins de 65 voitures (et 9 marques annoncées) dont un bon tiers pourra prétendre à la victoire !
Jacky Ickx a accueilli Valentino Rossi à Francorchamps pour le guider sur le tracé mythique en vue des 24 H de Spa (fin juillet). Nous avons pris leur sillage...
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Un moment suspendu dans le temps. Une rencontre improbable entre deux monstres sacrés du bitume : un enragé de la poignée de gaz d’un côté, un virtuose de l’accélérateur de l’autre. Lundi en fin d’après-midi, Jacky Ickx et Valentino Rossi se sont retrouvés en toute discrétion à Francorchamps. Pour le nonuple champion du monde de moto, il s’agissait d’une découverte : « Je connais le circuit sur simulateur et sur les consoles de jeux, mais j’ai hâte de le découvrir en vrai ! », répétait « Vale », arrivé dans un combi noir aux vitres teintées, en compagnie de son attachée de presse Camilla et de son manager et ami Alberto (Albi pour les intimes).
« Enzo Ferrari avait pour habitude de dire Che gente, questi piloti (Quels personnages, ces pilotes) et Valentino Rossi en est un, il est de ces seigneurs qui ont marqué à jamais leur sport et leur époque », philosophait Jacky Ickx en l’attendant dans le paddock. « J’ai eu plaisir à le côtoyer quelques fois ces dernières années. En allant notamment le voir rouler à Valence (NDLR : lors de la fameuse finale de 2015) ou encore à Assen. Nous ne nous connaissons pas intimement, mais nous nous apprécions, et je suis maintenant heureux de lui montrer notre circuit… »
Vincent Vosse vit l’instant avec émotion… « Réunir ces deux monstres sacrés dont le caractère et le charisme font leur légende en plus de faire celle de leur sport est bien sûr un moment très intense pour moi », nous glisse le patron du team WRT qui engage l’Audi du motard italien, secondé par le Courtraisien Fred Vervisch et le Suisse Nico Muller.
Pas le temps de s’appesantir : les caméras tournent ! La rencontre a été organisée dans le cadre de la réalisation d’un film sur le Centenaire du circuit que la RTBF diffusera dans la foulée du prochain Grand Prix de Belgique (à une date qui reste à déterminer). « Il ne faudra pas se louper, car il n’y aura pas vingt prises », nous glisse le réalisateur Christophe Hanquet dont le vœu sera exaucé : ses deux acteurs principaux manifestent une telle joie réciproque de « jouer ensemble » que le sujet se construit de manière fluide.
Valentino Rossi : « Jacky m’a donné quelques secrets »
Jacky Ickx fera d’abord trois tours de piste au volant d’une Porsche 911 de la série limitée créée en son honneur (il n’en existe que 75 exemplaires), puis Valentino Rossi en prendra le volant pour partir à la découverte du toboggan ardennais. « Laisse-la bien en mode sport c’est mieux ! », lui glisse l’ancien vice-champion du monde de F1 au moment d’échanger les places. « Sois bien prudent, Vale ! J’ai besoin de Jacky : nous fêtons les 20 ans de notre rencontre la semaine prochaine… », s’exclame dans un éclat de rire Khadja Nin, venue assister au tournage. Moins de dix minutes plus tard, l’improbable duo est de retour au stand. Rossi a la banane : « Ce circuit est magnifique ! », s’exclame-t-il. « C’est très rythmé et très fluide à la fois. Et maintenant que Jacky m’a donné quelques secrets, j’ai vraiment hâte d’y rouler avec ma voiture de course… »
Une découverte concrétisée mardi, et ce mercredi encore, à l’occasion des deux journées de tests programmées en vue des 24 Heures de Spa qui se dérouleront le dernier week-end de juillet (30-31). Et qui promettent un spectacle grandiose, avec pas moins de 65 voitures (et 9 marques annoncées) dont un bon tiers pourra prétendre à la victoire !
Fundurouge- Admin
- Messages : 1309
Date d'inscription : 24/03/2020
Localisation : Entre le centre du Bt W et le sud de l'Ardenne
Re: Jacky Ickx a accueilli Valentino Rossi à Francorchamps
Beau!
Par contre l'avis de Vale sur le circuit pour les motos est négatif, il a dit que ce circuit n'était pas du tout adapté pour les bécanes dans certains virages...
Par contre l'avis de Vale sur le circuit pour les motos est négatif, il a dit que ce circuit n'était pas du tout adapté pour les bécanes dans certains virages...
_________________
« Selon les statistiques, il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S'il y a 4 personnes autour de toi et qu'elles te semblent normales, c'est pas bon. »Jean-Claude Van Damme
Val à Francorchamps pour les 24 heures autos.
Désolé pour le "copier-coller", mais je pense que ça "reste" lisible!
Mercredi 27 juillet 2022 - La Libre Belgique 31
Entretien Olivier de Wilde
C’ est incontestablement la star de cette édition des 24 H de Spa. Pas notre vice-champion du monde de Tourisme et dernier lauréat des 24 H du Nürburgring Frédéric Vervisch,
mais bien son équipier sur l’Audi WRT Valentino Rossi. L’ultra populaire champion italien débarque ce mercredi à Francorchamps où il logera durantquatre ou cinq nuits dans son luxueux motorhome aux couleurs fluo (le seul accepté derrière les stands F1) pour vivre au mieux le premier double tour d’horloge de sa carrière.
Il sera épaulé sur sa R8 LMS n°46 par deux pilotes officiels de la marque : le Suisse Nico Muller et le Belge Fred Vervisch.
Frédéric Vervisch, cela fait quelques années que vous courez après votre première victoire aux 24 H de Spa et a priori ce ne sera pas encore pour cette année ?
Effectivement cela s’annonce difficile vu que Valentino est un rookie et dispute ses premières 24 H.
Mais sur une aussi longue distance, tout est toujours possible. Il va y avoir beaucoup de voitures de sécurité et de ‘Full Course Yellow’, surtout cette annéeavec le retour des bacs à graviers.
Lors de la première grosse moitié de la course, il faut juste survivre, éviter les bacs et les pénalités, rester en dehors des ennuis et dans le tour du leader. Cela ne sert à rien d’attaquer. Il est clair que pas mal d’équipages concurrents ont trois pilotes roulant dans le même dixième, ce qui n’est pas notre cas. Si c’était un sprint, je dirais qu’on n’a aucune chance. Mais sur 24 heures, avec un peu de bonheur avec les safety cars, une bonne stratégie, une voiture d’usine et un super team, rien n’est impossible.
Le Belge Frédéric Vervisch est l’équipier et le coach auto de Valentino Rossi, veux quand même y croire. Sur le papier, on n’a pas autant de chances que la voiture sœur n°32 par
exemple de Dries et Charles, mais une petite chance quand même.
Vous retrouver sur le podium dimanche avec Valentino Rossi aurait tout de même une saveur particulière même si ce n’est pas sur la plus haute marche ?
C’est clair. Ce serait le rêve, une véritable victoire. Le toit du motorhome de Vale ne serait pas assez haut tellement on sauterait de joie. Honnêtement, de manière réaliste, on signerait de suite pour une troisième place. Avec un jeune talent ou un troisième pilote usine, on serait toujours un peu déçus de ne pas gagner. Mais ici le contexte est différent.
Comment le “Doctor” aborde-t-il cegrand défi ?
Avec beaucoup d’humilité et de sérieux. Il ne s’intéresse pas directement au résultat, à la performance. Il veut avant tout bien faire, ne pas commettre d’erreur. Il pose des questions différentes, comme par exemple : que dois-je prévoir après la course ? Il découvre tout : il ne sait pas vraiment à quoi s’attendre. Je lui ai répondu que si on abandonnait
samedi, il pouvait rentrer à la maison, mais que si on terminait et surtout si le team WRT signe le résultat espéré, il vaut mieux prévoir de dormir une nuit de plus sur place car la fête sera longue…
C’est bizarre pour un athlète de son niveau, mais il dit craindre le côté physique. Comment expliquez-vous cela ?
D’abord car 24 h à trois c’est dur, physiquement mais aussi mentalement car il faut rester concentré continuellement avec l’important trafic. Ensuite car son corps a été habitué à d’autres efforts. Si je devais rouler au guidon d’une MotoGP, je n’aurais probablement plus de bras après deux tours. Ce ne sont pas les mêmes muscles qui travaillent en auto où il
faut par exemple beaucoup plus de force dans le pied gauche pour freiner. Et puis il y a la chaleur aussi dans l’habitacle. Mais cela devrait aller. Lors des Test Days, il a quasi roulé 8 heures en deux jours. Et même si le deuxième jour n’était pas à la hauteur du premier, il a tenu le coup. Et surtout le cou, là où il a le plus de mal.
En termes de chronos, cela donne quoi ?
En rythme de course, s’il pointe à une seconde de nous, ce sera bien. Il est bien dans le trafic. Il a un bon instinct. Il est toujours difficile de doubler sans toucher ici, même les derniers car vous devez y aller au freinage.
Est-il prévu qu’il roule moins que vous ?
Je ne vais pas vous dévoiler notre tactique (rires). Il est probable qu’on va Nico et moi chacun rouler dix heures et Valentino quatre. On verraen fonction du déroulement de la
course qui ne commence réellement que le dimanche matin. Peut-être que je ne serai pas bien et qu’au final il devra rouler ses huit heures. Au début, il prendra ses relais normalement, y compris de nuit qui sera une autre découverte pour lui. Il est aussi important pour nous de pouvoir dormir un peu.
Après on verra en fonction de ce qu’il y a à gagner, de son rythme et son état de forme.
Le sentez-vous capable de gagner un jour des courses en voiture à la régulière ?
En endurance, en GT3, avec le bon team, les bons équipiers, la bonne BOP, je pense qu’il a assez de talent pour rejoindre le top. Il est déjà très bon je trouve. J’ai été associé par le passé à des jeunes qu’on qualifiait d’espoirs et avec qui j’ai signé de moins bons résultats. Il a une approche très professionnelle et très réaliste : une année pour apprendre, la suivante pour gagner.
Rossi sera épaulé sur sa R8 LMS n°46 par deux pilotes officiels de la marque : le Suisse Muller et le Belge Vervisch.
Frédéric Vervisch, équipier belge et coach de l’ombre du grand Valentino Rossi sur l’Audi n°46.
GEERT FRANQUET/LPR RIXHON-RENARD
Mercredi 27 juillet 2022 - La Libre Belgique 31
Entretien Olivier de Wilde
C’ est incontestablement la star de cette édition des 24 H de Spa. Pas notre vice-champion du monde de Tourisme et dernier lauréat des 24 H du Nürburgring Frédéric Vervisch,
mais bien son équipier sur l’Audi WRT Valentino Rossi. L’ultra populaire champion italien débarque ce mercredi à Francorchamps où il logera durantquatre ou cinq nuits dans son luxueux motorhome aux couleurs fluo (le seul accepté derrière les stands F1) pour vivre au mieux le premier double tour d’horloge de sa carrière.
Il sera épaulé sur sa R8 LMS n°46 par deux pilotes officiels de la marque : le Suisse Nico Muller et le Belge Fred Vervisch.
Frédéric Vervisch, cela fait quelques années que vous courez après votre première victoire aux 24 H de Spa et a priori ce ne sera pas encore pour cette année ?
Effectivement cela s’annonce difficile vu que Valentino est un rookie et dispute ses premières 24 H.
Mais sur une aussi longue distance, tout est toujours possible. Il va y avoir beaucoup de voitures de sécurité et de ‘Full Course Yellow’, surtout cette annéeavec le retour des bacs à graviers.
Lors de la première grosse moitié de la course, il faut juste survivre, éviter les bacs et les pénalités, rester en dehors des ennuis et dans le tour du leader. Cela ne sert à rien d’attaquer. Il est clair que pas mal d’équipages concurrents ont trois pilotes roulant dans le même dixième, ce qui n’est pas notre cas. Si c’était un sprint, je dirais qu’on n’a aucune chance. Mais sur 24 heures, avec un peu de bonheur avec les safety cars, une bonne stratégie, une voiture d’usine et un super team, rien n’est impossible.
Le Belge Frédéric Vervisch est l’équipier et le coach auto de Valentino Rossi, veux quand même y croire. Sur le papier, on n’a pas autant de chances que la voiture sœur n°32 par
exemple de Dries et Charles, mais une petite chance quand même.
Vous retrouver sur le podium dimanche avec Valentino Rossi aurait tout de même une saveur particulière même si ce n’est pas sur la plus haute marche ?
C’est clair. Ce serait le rêve, une véritable victoire. Le toit du motorhome de Vale ne serait pas assez haut tellement on sauterait de joie. Honnêtement, de manière réaliste, on signerait de suite pour une troisième place. Avec un jeune talent ou un troisième pilote usine, on serait toujours un peu déçus de ne pas gagner. Mais ici le contexte est différent.
Comment le “Doctor” aborde-t-il cegrand défi ?
Avec beaucoup d’humilité et de sérieux. Il ne s’intéresse pas directement au résultat, à la performance. Il veut avant tout bien faire, ne pas commettre d’erreur. Il pose des questions différentes, comme par exemple : que dois-je prévoir après la course ? Il découvre tout : il ne sait pas vraiment à quoi s’attendre. Je lui ai répondu que si on abandonnait
samedi, il pouvait rentrer à la maison, mais que si on terminait et surtout si le team WRT signe le résultat espéré, il vaut mieux prévoir de dormir une nuit de plus sur place car la fête sera longue…
C’est bizarre pour un athlète de son niveau, mais il dit craindre le côté physique. Comment expliquez-vous cela ?
D’abord car 24 h à trois c’est dur, physiquement mais aussi mentalement car il faut rester concentré continuellement avec l’important trafic. Ensuite car son corps a été habitué à d’autres efforts. Si je devais rouler au guidon d’une MotoGP, je n’aurais probablement plus de bras après deux tours. Ce ne sont pas les mêmes muscles qui travaillent en auto où il
faut par exemple beaucoup plus de force dans le pied gauche pour freiner. Et puis il y a la chaleur aussi dans l’habitacle. Mais cela devrait aller. Lors des Test Days, il a quasi roulé 8 heures en deux jours. Et même si le deuxième jour n’était pas à la hauteur du premier, il a tenu le coup. Et surtout le cou, là où il a le plus de mal.
En termes de chronos, cela donne quoi ?
En rythme de course, s’il pointe à une seconde de nous, ce sera bien. Il est bien dans le trafic. Il a un bon instinct. Il est toujours difficile de doubler sans toucher ici, même les derniers car vous devez y aller au freinage.
Est-il prévu qu’il roule moins que vous ?
Je ne vais pas vous dévoiler notre tactique (rires). Il est probable qu’on va Nico et moi chacun rouler dix heures et Valentino quatre. On verraen fonction du déroulement de la
course qui ne commence réellement que le dimanche matin. Peut-être que je ne serai pas bien et qu’au final il devra rouler ses huit heures. Au début, il prendra ses relais normalement, y compris de nuit qui sera une autre découverte pour lui. Il est aussi important pour nous de pouvoir dormir un peu.
Après on verra en fonction de ce qu’il y a à gagner, de son rythme et son état de forme.
Le sentez-vous capable de gagner un jour des courses en voiture à la régulière ?
En endurance, en GT3, avec le bon team, les bons équipiers, la bonne BOP, je pense qu’il a assez de talent pour rejoindre le top. Il est déjà très bon je trouve. J’ai été associé par le passé à des jeunes qu’on qualifiait d’espoirs et avec qui j’ai signé de moins bons résultats. Il a une approche très professionnelle et très réaliste : une année pour apprendre, la suivante pour gagner.
Rossi sera épaulé sur sa R8 LMS n°46 par deux pilotes officiels de la marque : le Suisse Muller et le Belge Vervisch.
Frédéric Vervisch, équipier belge et coach de l’ombre du grand Valentino Rossi sur l’Audi n°46.
GEERT FRANQUET/LPR RIXHON-RENARD
Fundurouge- Admin
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Date d'inscription : 24/03/2020
Localisation : Entre le centre du Bt W et le sud de l'Ardenne
Re: Jacky Ickx a accueilli Valentino Rossi à Francorchamps
Euh???le titre c'est lisible. Merci d'avoir traduit en dessous
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« Selon les statistiques, il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S'il y a 4 personnes autour de toi et qu'elles te semblent normales, c'est pas bon. »Jean-Claude Van Damme
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